jeudi 28 février 2008

Free Travellers (les nomades du son)



voyageurs férus de musique électronique les travellers ont abandonné le mode de vie familial, pour adopter un mode de vie nomade .Parcourant le monde afin d'écouter ou faire de la musique electronique.Appliquant le Systeme D a la lettre .Les travellers vivent en général dans des camions aménagés .
Très bricoleurs et récupérateurs, ils aménagent souvent eux-même leurs "camtars", réparent les pannes techniques pouvant survenir sur la route, créent leurs propres systèmes d'alimentation (batteries, energie solaire...),créant ainsi une certaine autonomie.Très solidaires et altruistes ils se regroupent souvent pour camper ou pour voyager, formant une tribu.
Videos qui retrassent certains de leurs voyages

Mission To india

Storming Sarajevo
http://www.dailymotion.com/playlist/x8c5d_express72_storming-sarajevo/video/x3cvhb_world-traveller-adventures-storming_events



lundi 25 février 2008

Suka off (les mutants débarquent)






créé en 1995 par Piotr Wegrzynski et Sylvia Lajbig ,Suka Off est un collectif de "performers" .
Performances, photographies, vidéo , musique qui se développent sur scène, dans la rue, dans les clubs ou dans les galeries,
jouant avec les valeurs du bien et du mal.Le tout évoquant le mécanisme de la nature humaine, le troisième sexe, la recherche d'une communication radicale,créant ainsi un monde apocalyptique ,ou vomissements de liquides se mélangent en toute harmonie avec de l'SM et du fétichisme ..le tout invoquant une poésie morbide et onirique .
+Pour en savoir plus:ici
+Blog du collectif:ici

Quelques vidéos:


samedi 23 février 2008

la société industrielle et son avenir



la révolution industrielle conduit nécessairement à un ordre économique et politique de plus en plus contraignant qui détruit la nature vierge, réduit la liberté individuelle, transforme l'homme en simple rouage du système technologique, et à court terme détruira l'espèce humaine elle-même. « Ce système n'existe pas pour satisfaire les besoins des hommes, et n'en est pas capable. Les désirs et le comportement des hommes doivent en fait être modifiés pour satisfaire aux besoins de ce système ».
Le texte exprime un pessimisme radical face au développement technique, et annonce, sous l’effet de ce développement, une transformation négative inéluctable de la société qui, si elle subsiste sous sa forme actuelle, ne pourrait le faire qu’en dépouillant les individus du minimum de liberté qui leur est existentiellement nécessaire.
Son auteur
Theodore Kaczynski, est terroriste américain qui a envoyé pendant 18 ans un grand nombre de colis piégés à différents destinataires, causant la mort de 3 personnes et 29 blessés. Theodore Kaczynski a fait l'objet de la chasse à l'homme la plus coûteuse du FBI. Non identifié, il était alors surnommé "Unabomber", en référence à ses activités criminelles de « UNiversity and Airline BOMber ». L'homme a envoyé son premier colis piégé en mai 1978. En 1996, son frère cadet, qui avait reconnu l'écriture d'un des manifestes du terroriste, alerta les autorités. C'est ce qui permit l'arrestation de Ted Kaczynski, le 3 avril 1996. Kaczynski a également été suspecté d'être le fameux serial killer Zodiac, dont l'identité n'a jamais été établie.
+Pour télécharger le bouquin:ici
+Pour en savoir plus sur l'auteur:ici



Another state of mind

Another state of mind est un documentaire réalisé en 1982,retrassant l'aventure /mesaventure de deux groupes punk "Social Distortion" et "Youth Brigade",en leur première tournée internationale.
Un film réalisé de façon non-commerciale avec peu de moyens et de vrais acteurs du mouvement qui est sans doute le plus proche de l'esprit et de l'esthétique punk originelle caractérisé par l'hybridation et l'éclatement des formes musicales et visuelles traditionnelles et une pauvreté de moyens maximisée par une créativité redoublée.
+Pour en savoir plus:ici
+Pour le regarder ou le télécharger:ici

Fakir MUSAFAR





A presque 75 ans, Fakir Musafar personnalité de l'underground et pape de la body modification est à la fois l’ancêtre et le pionnier des modifications corporelles. Inventeur du terme «Modern Primitives», son travail lui vaut l’admiration et le respect de toute une génération d’artistes, tatoueurs, perceurs, mais aussi écrivains (Bruce Sterling, William Gibson, Neal Stephenson...), musiciens (Genesis P. Orridge est son meilleur ami...). A une époque ou le corps est souvent vécu de façon ambivalente, il propose une alternative étonnante à l’approche occidentale séparant nettement, corps et âme. Rencontre avec un grand homme de notre temps.

«En utilisant ton corps, en le modifiant, tu peux atteindre des états de conscience différents et te découvrir, ainsi que découvrir la vraie nature de ta vie». Comme disait Ram Dass, «il y a plusieurs chemins pour grimper la montagne, mais la vue au sommet est la même.» - FAKIR MUSAFAR
+Pour en savoir plus:ici

lundi 18 février 2008

Bordel 2.0


Le monde se divise en 5 catégories :
il y a ceux qui n’aiment pas et qui ne sont pas aimés
il y a ceux qui aiment mais qui ne sont pas aimés
il y a ceux qui n’aiment pas et qui pourtant sont aimés
il y a ceux qui aiment et qui sont aimés
et puis il y a les autres.
Je fais partie de la cinquième catégorie.

Bordel 2.0 est un court métrage expérimental et convulsif ,réalisé par Joseph Paris.Avec une bande son assez remarquable.
a part quelques fautes d'orthographe le reste est extra!

A vous de jugez


dimanche 17 février 2008

Ken Park




Indépendant, réaliste, sans compromis, audacieux, et rageur,le monde de " Ken Park" décrit les pulsions les plus brutales qui s'épanouissent au milieu d'une Amérique banale, dans un quotidien où les ados, poussés trop vite en graine devant MTV, aiment faire du skate, boire, baiser et fumer avec une nonchalance qui se teinte souvent d'un ennui viscéral. Quatre adolescents, quatre vies, quatre cauchemars. Claude essaie vainement d'échapper à la violence déviante de son père alcoolique, un homosexuel refoulé, sous le regard absent de sa mère enceinte. Peaches est étouffée par l'amour incestueux de son père, obsédé par la Bible, qui retrouve en elle le portrait de sa femme défunte. Shawn partage tant bien que mal son amour et sa sexualité entre une belle femme, mère de famille et sa fille de quinze ans. Tate, un garçon frustré aux obsessions morbides, en vient à haïr jusqu'au meurtre ses grands parents aisés et amoureux chez qui il vit, à force de malentendus anodins. Si " Ken Park " choque, ce n'est pas tant par ses plans frontaux sur une masturbation ou une longue goutte de sperme se balançant au bout d'un sexe, c'est surtout parce que le film paraît incroyablement crédible, faits divers sordides à l'appui.

+Pour en savoir plus:ici

La suspension




parmi les pratiques de la "body modification",on y trouve la suspension: Cette dernière,se résume a accrocher le corps via des crochets dans divers parties du corps, Les motifs pour lesquels cette pratique est courante sont divers:a savoir la ruée d'endorphine,l'adrénaline pure,le dépassement de certaines craintes,ou tout simplement atteindre un certain niveau de conscience spirituelle.En général ,les gens se font suspendre afin d'atteindre une sorte de "nouvelle expérience". Quelques personnes cherchent l'occasion de découvrir un sens plus profond de leur personnalité et défient certaines croyances courantes qui ne peuvent pas être vrais.Certains cherchent une rencontre spirituelle pour lâcher et entrer en communion avec leur âme. D'autres cherchent le contrôle de leur corps, ou cherchent à prouver à eux qu'ils sont plus que leurs corps. D'autres recherchent simplement a explorer l'inconnu

+Pour en savoir plus:ici



UN DOCUMENTAIRE EN DEUX PARTIES:

mercredi 13 février 2008

Mon grand-père, immigré fasciste raciste anti-français


Sans doute l'un des textes les plus forts et rudes .
Je me contenterais a un avis d'un lecteur :"Comme toujours Costes est remarquable de lucidité sur le genre humain dans un style unique. Il sait ainsi nous faire prendre conscience à la fois de la misère et de la cruauté humaines tout en nous arrachant une érection finale et salvatrice. "
Un texte sauvage et sensible, d’une grande liberté d’évocation.
+Pour lire le texte en intégral:ici

lundi 11 février 2008

Snuffs movies


"Tous les tabous sexuels ont été montrés à l'écran et nous pouvons nous demander : quelle sera la prochaine étape dans cette surenchère ? Ce pourrait être le meurtre. Ces films ont un nom : the snuff movies, où l'assassinat est commis sans simulation..." Cette déclaration de Roman Polanski sert d'introduction au film "The evolution of snuff" de Andrzej Kostenko qui tente de retracer l'histoire des snuff movies. Vrais ou faux, voici les faits : New York City - 1976. Scandale. Près de Broadway, une salle de Times Square affiche un nouveau film : "Snuff". Une foule manifeste aux cris de : "Non au film "Snuff" ; halte à l'exploitation ; non à la dégradation de la femme à l'écran..." Quelques années plus tôt, Michael Findlay et son épouse Roberta, âgée de dix-sept ans, se lancent dans la réalisation de petits films érotiques (softcore), industrie alors naissante. Rapidement, la demande se fait plus exigeante ; le porno rugueux fait son apparition. On l'appellera le hardcore. Les Findlay suivent l'évolution. A l'époque, les bénéfices d'un hardcore moyen, réalisé en une ou deux semaines, sont d'environ 10 000 dollars. On piétine, il faut trouver autre chose... Michael Findlay écrit une ébauche de scénario : des révolutionnaires font prisonnier une famille d'ex-nazis. Sexe, violence, exotisme, voila les ingrédients du film qu'il va tourner en Argentine. Le chef de la bande, personnage vaguement inspiré de Charles Manson, exécute à tour de bras, non sans avoir auparavant infligé à ses victimes divers sévices peu raffinés. De retour aux États Unis, Findlay ne trouve pas de distributeurs. Ces derniers flippent, angoissent : "Beaucoup trop violent, impossible de mettre sur le marché un film où le meurtrier de Sharon Tate aurait l'air par trop sympathique... ". L'entreprise semble vouée à l'échec. Cependant, quelqu'un (Qui ? Personne ne le saura jamais. Le secret est bien gardé, et pour cause...) va titrer ce film "Snuff". Par allusion à des documentaires tournés clandestinement en Amazonie. Qu'on dit truqués. Le spectacle n'est pas triste : on y massacre aussi bien des indigènes que des animaux, sans aucune simulation. On aurait donc, par la suite, ajouté au film de Michael Findlay une scène finale où une femme se fait véritablement tuer devant la caméra. Vrai ou faux ? L'embrouille est totale. De fuites en rumeurs, des manifestations s'organisent aussitôt. Manque de pot pour la vérité : Michael Findlay meurt quelques mois plus tard, décapité par une pâle d'hélicoptère sur le toit de l'immeuble Pan Am. Les hasards de la vie ont des revers étonnants ! Quelle est l'origine du mot snuff ? (Littéralement et littérairement, snuff signifie tabac à priser, et to snuff priser ce même tabac). Combien de films circulent sous le manteau ? Existent-ils vraiment ?... Parions que ces questions resteront à jamais sans réponses. Pourtant l'appellation va survivre et fera même école. Industrie clandestine, les snuff movies seraient destinés à des circuits très fermés : nouvelle version (sanglante) des ballets roses. On y verrait toute une panoplie de meurtres sexuels. Passons sur les détails pour éviter de tourner de l'oeil ! Les interprètes-victimes seraient manipulés : le "producteur" embaucherait des "comédiens" pour un vulgaire film porno, comme il s'en fait à la pelle àLos Angeles puis, évidemment, cela finirait très mal pour eux. Pas question de happy-end ! La main homicide ? Hollywood ne manque pas de détraqués prêts à n'importe quoi, pour une poignée de dollars. Chaque époque a les combats de gladiateurs qu'elle mérite. Souvenez-vous de la lente et difficile plongée dans cet enfer vue par Paul Schrader dans "Hardcore". George C. Scott n'en menait pas large. Mais des petits malins se sont vite mis sur les rangs... Au festival de Cannes, il y a quelques années, l'Italie présentait dans la compétition officielle un film de Gualtiero Jacopetti : "Mondo Cane". C'était l'ère du snuff avec alibi ethnographique. Le cinéaste avait parcouru le monde, sa caméra a l'épaule, en traquant ses aspects les plus cruels. Exemple : l'explorateur mangé par le lion, en direct (Quel scoop, coco !). Face à une critique déchaînée, Jacopetti défend son film comme un beau diable. Il est vrai qu'on lui reprochait d'avoir donné un petit coup de pouce aux événements. Qu'à cela ne tienne, récidive deux ans plus tard avec "Gualtiero JacopettiMondo Cane 2" et engendre une école italienne spécialisée dans le genre. Dont "Cannibal holocaust" de Ruggero Deodato. Tout le film repose sur cette ambiguïté : mêler réalité et fiction. À nous, spectateurs, de faire le tri parmi une kyrielle de scènes peu ragoûtantes : cannibales à l'heure du lunch, brochettes de pal, décapitations de singes, dépeçage de tortue vivante...). Pour sa défense, le metteur en scène Ruggero Deodato, de passage à Paris, se justifiera par un laconique : "Nous avons respecté les quotas de chasse délivrés par les autorités". À chacun son message. Alors, du cinéma, le snuff ? Je vous laisse juge... Un documentaire fort interessant sur le sujet:DOES SNUFF EXIST

La scarification




Depuis quelques années, la monde de la mode s'empare des rites,ainsi que du coprs comme plate-forme. Parmis les pratiques les plus répondues dans la décoration corporelle on trouve la scarification ,qui est une «décoration» permanente du corps. Elle consiste à pratiquer une incision superficielle de la peau. En cicatrisant, la plaie forme un motif. Depuis le retour de la mode ethnique, la scarification gagne du terrain dans le milieu underground. En Afrique, il s’agit essentiellement d’un marquage symbolique qui indique l’appartenance à une ethnie ou qui constitue un rite d’initiation représentant le passage de l’enfance à l’âge adulte. Dans certaines tribus, ces cicatrices sont aussi un signe de courage, une marque de virilité pour les hommes et de féminité exacerbée pour les femmes. En Occident, ces cicatrices sont plutôt des signes érotisants qui ont pour but d’attirer l’attention sur le corps. La douleur ressentie au cours de la scarification peut aussi avoir une valeur sexuelle. Avoir mal par pur plaisir et par jouissance, c’est le credo des masochistes. «Pour nous, cette pratique dénote souvent une volonté de représenter ou de changer quelque chose en soi. C’est une modification profonde pour affirmer quelque chose ou pour changer de statut. Par exemple, c’est un phénomène très en vogue dans le milieu lesbien», affirme David, l’un des pionniers de la scarification en Europe. Les scarifications peuvent être de plusieurs types; celles de base sont les "Branding" (scarification où l'on marque la peau avec n'importe quel type de feu, avec le laser ou avec un instrument qui conduit le courant électrique marquant la peau), les coupures (fines coupures qui se font utilisant une lame fine, parfois, on les colorie avec de l'encre à tatouages, et il arrive aussi que ceci implique retirer des morceaux de peau), et dans d'autres nombreux cas elles comprennent l'utilisation de produits chimiques et d'autres pratiques moins traditionnels.
-Pour en savoir plus:ici ou ici


lundi 4 février 2008

SNUFF FILMS





Film d'horreur français indépendant primé au premier festival le Weekend de la Peur 2007.
Réaliser par:Nicolas Brésier.
Avec:
acteur/maquilleur/FX: cyril reymond
Actrice: Mélanie Garino
Acteur/assistant Réa: Nicolas Darche
Acteur/Assistant régie: Stephane Ollier
Actrice: Mélanie Artilland
Acteur/assistant/cadreur: Alain Christol
Actrice: Mathilde Bressier
Réalisateur/scénariste/producteur: Nicolas Bressier
compositeur titre générique et piano: Olivier segura
producteur titre générique: Jean phylippe Bleys

Site Officiel:ici
Bonne Fin de soirée!

samedi 2 février 2008

Les mieux adaptés surviveront

Une performance live,a la demeure du chaos avec comme guests:Lukas Zpira,sa charmante femme Satomi Zpira,Johana, Otomo, Phil-Von, Marquis, David Defendi, Tarik Noui, Clément, Ingrid, Quentin et Kannelle.
performance physique, musicale et ambiance suicidaire.


LES MIEUX ADAPTËS SURVIVERONT

Lukas Zpira (The Body Hacktivist)




Star internationale des modifications corporelles,il demarra sa carrière artistique en 1992. Peinture, sculptures, installations, écriture et photo.
C’est en 1993 qu'il prendra le nom de Lukas Zpira, en fait une anagramme inspirée des jeux surréalistes. Cette année là il réalise un petit recueil de ses textes illustré d'images de son travail. "Onanisme manu militari". En 1995, il se tourne vers le body art en tant que scarificateur au studio WEIRD FAKTORY à Avignon.
Utilisant son corps comme nouveau médium, il le transforme et l'utilise comme élément de performance. Il démarre une carrière au niveau international, contemporain de Steve Haworth.
Le fruit de ses nombreuses collaborations artistiques et l’écriture du manifeste "body hacktivisme" donneront naissance à un livre, sorti à 3000 exemplaires sous le titre d'"onanisme manu militari II “aux éditions «Hors Editions».
L’ensemble de ses rencontres lui seront d'une grande inspiration et l’aideront dans le développement des ses activités, notamment le photographe GNOM et HANS NELEMAN, qu'il rencontre a New York en 2002 et qu'il aide sur un projet de livre, "body transformed", celle de SATOMI et du clan HIDDEN SHADOWS ainsi que du soutien de LAURENT COURAU, fondateur de "laspirale.org", un des meilleurs sites internet consacré aux contres cultures.
+Site Officiel:ici
"hand implantation made by Zpira" Une petite video pour la route...